Je viens de relire cette injonction majeure de Friedrich Hölderlin dans le grand livre de François Cheng, « Cinq méditations sur la beauté », aux Éditions Albin Michel, 2006. Elle prend place au début de la quatrième méditation, à l’issue d’un bref parcours au sein de la tradition occidentale : « La beauté est la splendeur du vrai. »…