J’indique dans la présentation de l’atelier Vision du Soi & Lectures essentielles, pour l’instant développé avec les seuls évangiles de Thomas et de Jean, que le Sin Sin Ming & Shin Jin Mei (en japonais) de Seng-Ts’an¹ serait également susceptible de servir de support à un tel atelier.²
Seng-ts’an – Sosan en japonais (? – vers 606)
Il existe d’excellentes traductions, plus ou moins bien commentées, sur du bon vieux papier, notamment « Zen et Vedanta » d’Arnaud Desjardins, ainsi que « L’Esprit du Ch’an : Le Shin Jin Mei, aux sources chinoises du zen« de Taisen Deshimaru.
Le wouèbe propose également son lot de découvertes :
- une traduction de Jean Bouchard d’Orval
- un texte brut de décoffrage, ce qui n’est pas plus mal, sur le site de 3° Millénaire
- un commentaire de Thierry Vissac
- l’article Xinxin Ming sur wikipedia anglais
- une série de traductions anglaises
- les commentaires d’Arnaud Desjardins et de D. T. Suzuki en pdf
- …
Oui, comme Douglas Harding n’a cessé et de le répéter à sa manière et surtout de le prouver, « La grande voie ne pose aucun problème … Quand l’unité n’est pas vécue, on s’égare … Pour un œil qui ne ferme pas, tous les rêves cessent d’eux-mêmes … »
N’en croyez pas un traître mot : venez vérifier dans un atelier de Vision du Soi !
Cordialement
¹ – Plus d’information sur l’article wikipedia en anglais.
² – Les lecteurs qu’une telle prétention rebute, voire indigne, auraient intérêt à jeter un œil sur ma traduction du texte de David Lang : « Rating the experts » . Et, tout simplement, à commencer par lire ce fameux texte, très proche de la source historique du ch’an & zen, sans a priori ni révérence excessive, juste pour vérifier que Seng Ts’an, le 30° patriarche et 3° patriarche chinois a « bien pigé le truc » !