Un petit souci de santé réoriente temporairement mon énergie vers le rangement d’objets pas trop lourd, le classement, le petit ménage …
Je déplace & dépoussière donc ce gros livre intitulé « Sagesses – 365 pensées de maîtres de l’Inde » de Danielle & Olivier Föllmi, aux Éditions de la Martinière.
Et je m’aperçois que la première page de ce livre, acheté d’occasion, est collée à l’épaisse couverture cartonnée. Je la froisse très légèrement, avec un maximum de précautions, et hop, le trésor apparaît :
« Se libérer du connu c’est mourir, et alors on vit. »
Voilà effectivement une de ces grandes paroles (« Mahâvâkya ») de nature à bondir de joie, sur place ou pour sauter dans … le grand bain de l’Éveil !
Presque toutes les autres pages, plus de 365, auraient pu rester collées sans que cela pose vraiment problème ! Là j’exagère un peu, si peu …
Juste un embryon de commentaire : « se libérer du connu », cela peut être très simplement, concrètement, joyeusement, avoir l’audace de tester la Vision du Soi selon Douglas Harding. Parmi les nombreuses expériences de cette méthode, vous en trouverez certainement au moins une qui vous permettra :
- de « mourir » – simplement, concrètement, joyeusement – à l’illusion d’être réduit à la zone « je suis humain » du dessin ci-dessous, à l’illusion de n’être qu’un « petit » corps & mental fort limité et … mortel.
- de (re)« vivre » – simplement, concrètement, joyeusement – dans l’évidence d’être, d’abord, le « Je Suis » central, qui explose ensuite, instantanément, aux dimensions de tout l’univers, le « Youniverse », de renaître à l’évidence de votre vraie nature d’espace d’accueil illimité & inconditionnel, votre Visage Originel.
Ne me croyez surtout pas, essayez … !
Cordialement
NB : lecture de « Se libérer du connu », pour ceux que la lecture inquiète … Mais je n’ai pas tout écouté : plus de 4 heures !