« Malgré mes apparences innombrables, selon que l’on m’observe de plus ou moins près ou de plus ou moins loin, je demeure le Contenant immuable, l’Observant et l’Observé, la Réalité centrale dont toutes les créatures sont à la fois le contenu et les manifestations locales. Toutes des théophanies. Des manifestations de Dieu. Moi-même, sous une infinité de masques.
En un mot, je suis « en sécurité ». En fait, je suis l’unique Sécurité, ici même au Centre, où nous partageons tous la même Identité, moi, vous éminent Avocat de la Couronne, le Juge, le Jury, et tous les êtres à tous niveaux, en tous endroits et en tous temps. …
La Divinité que nous sommes tous n’a rien de périssable, Elle est l’unique impérissable.
[…]
Il s’agit simplement de confiance. Je peux être sur que tôt ou tard, et le plus tôt possible, John a-Nokes me laissera tomber. Par contre je sais qu’à aucun moment, ni maintenant ni jamais, Qui-je-suis ne m’abandonnera. C’est sûr. Il s’abandonnerait lui même. En langage traditionnel, cela signifie que tout ce que Dieu a prévu pour moi (c’est-à-dire les choses telles qu’elles se présentent à moi actuellement) est parfait, à condition que je dise oui ! »
Pour observer « de plus ou moins près ou de plus ou moins loin », intelligemment, vous avez l’embarras du choix avec « Les Puissances de Dix » :
- un livre, aux éditions Belin, collection Pour la science
- une vidéo
- un site
Jusqu’où vibrent les notes du pianiste dans l’univers … ? (Suite Française n° 6, Sarabande)
Cordialement