« Mais je n’ai jamais prétendu avoir un médicament que tous les estomacs pouvaient digérer. Ce que je sais, c’est que le remède pur que je prescris ne peut être toléré que lorsque le patient est mûr et prêt pour le recevoir. Alors il n’a qu’a ouvrir la bouche et ça descend tout seul comme du sirop.
[…]
Qui je suis vraiment, vraiment, est le seul véritable Pouvoir, le seul véritable Auteur de tout ce qui est fait.
[…]
… il y a un Centre unique d’où rayonnent éternellement, comme les vagues concentriques autour d’une pierre jetée dans un étang, les multiples couches de l’univers. Ce Centre porte des noms divers : Conscience, Essence, Réalité, Être, Esprit, Atman-Brahman, le Pouvoir Suprême, la Première Personne du Singulier que JE SUIS. Être conscient, c’est être Ceci, car il n’y a pas de conscience indépendante de, ou hors de Ceci.«
En écho à cette pierre jetée dans l’étang, rejoignons notre ami le pianiste qui nous fait vibrer au rythme de Bodrum. Un peu de détente ne nous fera pas de mal avant les deux derniers chapitres du Procès.
Cordialement