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Dieu, les femmes et Leonard Cohen – Daniel Bougnoux

Les « happy few » lecteurs de volte-espace connaissent mon admiration pour l’œuvre de Leonard Cohen, ainsi que les commentaires en lien plus ou moins direct avec la Vision du Soi selon Douglas Harding que ses textes suscitent ici.

Une récente recherche sur le wouèbe – pour écrire un billet à propos de « Birds on a wire » – m’a conduit sur le blogue de Daniel Bougnoux, également admirateur de longue date du poète & chanteur, qui a eu le courage d’écrire & mettre en ligne une mise au point éminemment nécessaire.

C’est ça le problème quand on cherche : on finit souvent par trouver … ce que l’on aurait préféré ignorer ! Je vous laisse le soin de découvrir par vous-même les raisons de son constat ci-dessous :

« Et je me trouve divisé entre l’émerveillement et l’accablement. »

« … À Hydra, tout le monde connaissait tout le monde, et les commentaires allaient bon train sur les incessants chassés-croisés entre les couples qui changeaient de partenaires, dans une frénésie de « lits musicaux ». Un endroit très dangereux ou toxique pour les ménages fidèles, et particulièrement pour leurs enfants : combien de divorces, de dérives suicidaires, d’addictions, de dépressions ou de névroses enfantines prirent à Hydra leur ravageuse origine ? Untold Stories en dresse une liste impressionnante, et nécessairement incomplète. … »

Ces deux billets complètent très utilement « Leonard Cohen, le moine qui aimait les femmes » … si mal placé un 8 mars, du fait de ma méconnaissance de « the big picture ».

Si les femmes qu’il a « fréquentées » ont été beaucoup trop gentilles avec lui, il semblerait qu’aucune ne soit parvenue à être « pour lui une aide contre lui »*, selon l’heureuse traduction de Genèse 2, 18 par André Chouraqui. C’est fichtrement dommage !

« Because of a few songs wherein I spoke of their mystery,
women have been exceptionally kind to my old age.
They make a secret place in their busy lives and they take me there.
They become naked in their different ways and they say,
« Look at me, Leonard
look at me one last time. »
Then they bend over the bed and cover me up like a baby that is shivering. »

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Pour information :

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Cordialement

 

* mise à part Kelley Lynch peut-être …

Par Jean-Marc Thiabaud

Jean-Marc Thiabaud, 65 ans, marié, deux fils, un petit-fils.
La lecture de "La philosophie éternelle" d'Aldous Huxley m'oriente précocement sur le chemin de la recherche du Soi.
Mon parcours intérieur emprunte d'abord la voie du yoga, puis celle de l'enseignement d'Arnaud Desjardins.
La rencontre de Douglas Harding en 1993 me permet d'accéder à une évidence que je souhaite désormais partager.

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