C’est lors de la cérémonie d’adieu à Douglas Harding, en l’église de Nacton, que j’ai entendu pour la première fois le chant grave et profond de l’ensemble Gospodi.
Depuis j’écoute régulièrement ces chants chargés de sens, en souvenir de cette journée si particulière évoquée dans un « Tombeau* pour Douglas Edison Harding ».
Un extrait de leur dernier album, « Veruyu » :
Il est possible d’apprécier l’ambiance si particulière des autres CD ici.
Et un disque de Chants byzantins en français est disponible chez Bayard Musique.
NB : L’emblème du quatuor Gospodi est une reproduction stylisée de la célèbre icône de la trinité peinte aux alentours de 1425 par le moine russe Andreï Roublev.
Il me semble que cet emblème, qui correspond fidèlement à la disposition du groupe lors des concerts, colle parfaitement avec l’expérience du groupe de quatre & trois …
Comme je pourrais bien sûr me tromper, le mieux serait sans doute que vous puissiez vérifier par vous-même lors d’un atelier ! En « jouant le « jeu d’une sainte trinité » aussi simple que libératrice …
Cordialement
* – Texte guère poétique, et donc titre un peu prétentieux !